Accueil

Articles

Photos

Profil

Contact

Bangladesh: dans un bidonville des ouvriers du textile

Le bidonville de Tongi, au nord de Dacca, est l’un des nombreux « slums » où vit la moitié de ses quinze millions d’habitants. La vie quotidienne : surpeuplement, logements insalubres, absence d’assainissement, malnutrition. Néanmoins, la misère n’est pas totale : les usines textiles des environs fournissent du travail à une bonne partie des habitants. Voir les articles Le textile du Bangladesh, un an après le désastre, Sultana, Kavita, Abdul et Cie, dans les bidonvilles du textile au Bangladesh, Le textile, un secteur clef pour le développement du Bangladesh, Le Bangladesh se fait sa place dans le club des émergents et les diaporamas Bangladesh: le textile, entre prospérité et catastrophes et Bangladesh: Dacca, une capitale surpeuplée.

Le slum comprend environ 20.000 logements... (1/20)...construits en tôle ondulée... (2/20)...le plus souvent sans fenêtre (3/20)Un logement comme celui-ci peut abriter cinq ou six personnes... (4/20)...dans sa douzaine de mètres carrés (5/20)Pas étonnant si la population vit surtout dans la rue (6/20)Les quelque 100.000 habitants viennent souvent de la campagne (7/20)Certains sont âgés... (8/20)...ou carrément très âgés: la doyenne du slum, qui ne sait pas son âge (9/20)Les enfants sont très nombreux... (10/20)...dans un pays où la population continue à croître fortement (11/20)Le textile fournit le principal moyen de subsistance: au fond, une énorme usine (12/20)Les petits métiers sont nombreux également, des plus licites... (13/20)...à d'autres qui le sont nettement moins (14/20)Casser des briques est également un moyen de gagner sa vie (15/20)Les animaux sont logés à l'image des hommes: ici, une étable de quatre ou cinq mètres carrés (16/20)Les travailleurs sociaux du quartier observent de gros problèmes de santé, notamment de malnutrition des enfants et de maladies liées à l'eau (17/20)Pire que tout: cette masure sans vrais parois se loue pour 30% d'un salaire minimum (18/20)Cette femme qui y vit passe au tamis la terre ramassée près de camions chargeant des sacs de riz pour récupérer les grains mangeables (19/20)La joie de vivre est là malgré tout: exultation de la championne d'osselets du slum! (20/20)

 

Accueil

Articles

Photos

Profil

Contact